Un changement necessaire par Lord Greggory

Comment pouvons-nous définir une nation? Par sa culture, ses tradi-
tions, mais aussi sa langue. Nous sommes plus de 6 milliards sur Terre : des hommes et des femmes de toutes les couleurs doivent coha-
biter chaque jour depuis la nuit des temps. Les différerences entre les
civilisations ont modelé le visage de notre globe, tantôt pour le meilleur,mais aussi pour le pire. Le XXe siècle fut le plus rouge de l’histoire de
l’humanité et ce, malgré plusieurs dizaines de Gandhi, de Luther King et de Mère Thérésa.. Alors que pouvons-nous espérer du prochain? En continuant sur la voie de la violence, ne risquons-nous pas d’assister à notre propre destruction?

L’homme, depuis le début de son règne sur la Planète Bleue, a affirmé
sa nature belliqueuse et sanguinaire. Il ne possède qu’une faible conscience collective
et préfère vivre aux dépens des autres. Il faut l’admettre, les divergences de culture n’ont pas su nous réunir, mais plutôt alimenter notre haine
envers la différence, envers l’autre. Beaucoup de gens craignent l’in-
connu et la nouveauté. C’est pourquoi sans ennemi commun, il est
ardu de réunir l’humanité sous une même bannière.

Il faut se lever et cesser de cogiter.Une première bonne chose serait
d’instaurer une langue internationale que chaque individu devrait
apprendre en plus de sa langue maternelle. Ainsi, une première bar-
rière serait abattue tout en permettant de conserver une diversité
culturelle. Certains suggèreraient l’espéranto. C’est un des pires choix
selon moi. Voyez-vous, une langue artificielle ne pourrait réussir, car
personne n’y adhérerait. Rien ne peut surgir du néant. Sans histoire
et sans culture, l’espéranto n’est que la langue d’excellence des utopistes.
Au grand plaisir ou malheur de certains, j’estime que l’anglais serait le
meilleur choix. En effet, cette langue est déjà utilisée dans la majorité des
secteurs économiques, technologiques et artistiques, si l’on pense au
domaine musical ou cinématographique. Ce n’est certainement pas la
langue la plus riche au point de vue vocabulaire et historique, mais elle
demeure tout de même facile d’accès : l’anglais s’apprend rapidement
et beaucoup de personnes disséminées partout à travers le monde le
parlent.

Passons maintenant aux Nations Unies. il faut l’avouer, l’ONU a tou-
jours fait piètre figure sur le plan international. En plus de multiplier
les erreurs année après année, elle n’est actuellement que la marion-
nette de certains états phares et n’est que le piètre successeur de la
Société des Nations. Par dessus tout, elle ne possède ni les moyens
financiers ni le moyens militaires pour régler les conflits, l’autorité de
faire adopter des mesures de lutte au réchauffement climatique ou
encore le charisme nécessaire pour nous réunir. Rwanda, Yougoslavie,
Darfour : la liste est longue et vermeille. La planète entière connais-
sait la situation de ces pays. L’ONU a fermé les yeux sur plusieurs mas-
sacres et crises humanitaires au nom d’intérêts monétaires alors que
des vies humaines étaient en jeu. Comment pouvons-nous avoir
confiance en un système aussi corrumpu qu’aveugle? Comment pou-
vons-nous refuser d’ouvrir les yeux devant tant de violence, de détresse
et de souffrance? Sommes-nous aussi égocentriques au point de se
balancer de notre prochain?

Plus le temps passe, plus je commence à croire que nous ne méri-
tons pas ce que nous possédons. L’homme me semble incapable de
résoudre le moindre conflit avant qu’il soit trop tard. Chaque progrès
se fait au prix d’incroyables et interminables débats. L’homo sapiens
est-il totalement dépourvu d’une conscience collective? Pour aller
vers l’avant, il faut cesser de tergiverser! L’Union Européenne, malgré
ses ratées me semble une alternative intéressante, mais aussi un pre-
mier pas vers un gouvernement planétaire. Un continent vient enfin
de se réunir pour former un gouvernement possédant les mêmes inté-
rêts économiques et militaires, même s’il ne jouit pas d’une énorme
autonomie.

L’émergence d’un nouveau système politique qui remplacerait le démo-
cratique faciliterait grandement les choses. Au point où nous en som-
mes, la démocratie ralentit le progrès, car elle pourrit jusqu’à la
moelle. Prenons les État-Unis : le champion de la démocratie n’est en
fait qu’un royaume à deux visages :sur la scène internationale, ce pays
se proclame le défenseur des libertés et de la justice alors qu’aucun
système de lutte à la pauvreté n’existe, que l’État sert les intérêts de puissants lobbies, que le crime et le racisme dominent les banlieues.
Dois-je rappeler que les afro-américains ont obtenu le droit de
vote seulement après les années 1960? D’autre part, il est triste de
réaliser que les dictateurs utilisent la force pour maintenir en place leur
régime, car ils sont les seuls à détenir l’autorité ainsi que le pouvoir
nécessaire pour changer les choses. La tâche à laquelle l’humanité sera
confrontée déterminera son futur.

Nous devons agir maintenant ou bien disparaître. Comme le disait
Che Guevara : «Soyons réalistes, exigeons l’impossible.»

par rapport à l'ONU, d'un certain côté, je la considère illégitime, dans son stade d'aujourd'hui... elle a été fixé sur les bases d'une victoire à la suite d'une guerre.... le droit de véto est absurde et inégalitaire, qui est concentré dans des pays du "Nord"(à part la Chine...)
pour avoir participer à plusieurs simulations de l'ONU avce d'autres étudiants, la seule chose que j'ai appris, c'est le pourquoi cela ne marchait pas: les gens qui sont assis ne sont pas forcément là parce qu'ils vuelent faire avancer le monde... et il y a trop de règle stricte, etc, qui dénaturent le réel objectif d'une organisation comme celle-ci...


et pusi je pense qu'il faut encore penser à un nouveau système politique... on le voit, la démocratie est imparfaite. Il s'agit, d'une certaine manière, de la "tyrannie de la majorité"... qui est le reflet de l'opinion publique, et non forcément du discuté... d'où le rôle des médias aujourd'hui, par exemple dans la campagne présidentielle fr....

Texte édité, merci de respecter les premières consignes

Je suis bien d'accord avec tout ce que Lord Gregory a dit. Mais je trouve ça un peu euthopiste...
Ce qui est proposé, c'est de tendre vers l'harmonie entre les nations. Mais depuis le début des temps, les espèces animales abandonnent les plus faibles, les humains repousse, par ce qui est à la base, un simple processus de sélection naturelle devenu mode de discrimantion.
Bref, uniformiser une langue ou un mode de vie serait difficile. Si les américain, avec toute la place qu'ils occupent sur le plan international, n'y sont pas parvenu, je doute que quelqu'un y arrive. Il existera toujours une nation qui voudra conserver ses coutumes intactes et s'opposera à suivre les autres.
Mais comme Lord Gregory l'a dit plus haut, rien ne se créer de rien. Je crois donc que pour plus d'harmonie, on doit apprendre à battir sur une base humaine déjà connue et accepter tous ces défauts nocifs qui créent tant de problèmes. De toutes façon, on ne s'en détachera pas, la nature humaine étant ce qu'elle est. La violence et la discrimination semble faire partie de nous, puisque je ne connais aucune periode de l'histoire ou elles ai été absentes. Donc, au lieu de tout rebatir sur de nouvelles bases, je trouverais plus réaliste de continuer plus positivement sur ce qu'on a déjà établie.
Par contre je nmest rien à ajouter sur le cas de l'ONU. Depuis le Rwanda...elle m'énerve particulièrement!

Moi j'aimerai bien que le texte soit mise en forme comme j'ai demandé ...

Qu'est ce qu'il faut que je change??

@Necro: D'accord, je vais continuer l'argumentation des que possible.

mettre en evidence ce qui dois l'etre ... mettre en gros les passges important (comme dans les vrais journaux quoi), mettre de la couleur là ou tu l'estime nécessaire et justifier (=aligné) le texte de manière plus convenable...

lol, il est assez booké ..